Central

La compagnie Wooshing Machine nous offre un cadeau infiniment rare et précieux, celui de faire exister ensemble la gravité et la joie, l’aisance et la désarticulation, le cabotinage et l’autodérision, l’infantilité et la maturité.

Un projet tellement singulier pour le chanteur que sur la pochette de l’album, on peut lire son vrai nom, Dominique Ané. L'idée revient au critique jazz Jean-François Mondot, qui souhaitait “traduire en chansons le brouillard (de l'auteur Patrick) Modiano”.

Dans leur Salon, Freddy Tougaux, Maurizio Morina et Olivier Leborgne reçoivent Nathan Drappa, Ilona Dufêne, Florent Losson, Carole Matagne, Lea Lando... On va rire !

Un voyage entre le passé et le présent, entre deux générations de danseurs, ainsi qu’une ode au corps dansant quel que soit son âge.

Quand on arrive dans le monde, on n’y connait rien, on doit tout découvrir ! Apprivoiser son corps, se confronter à son image et se construire une identité. Quelle porte faut-il ouvrir, quelle couleur choisir, quel vêtement porter ? Qui veut-on devenir ?

Ce seul-en-scène de théâtre aux touches de cabaret met en scène le personnage dragqueen Chantaaaal qui, suite à une révélation divine, décide de créer une comédie musicale sur la Bible pour demander sa main au pape François au Vatican.

Ce soir, petite fête privée au Château de Versailles. Les grandes fortunes en seront. Pour faire plus authentique, des musiciens baroques en costumes d’époque joueront de la musique très, très Louis XIV. Les verres se cognent, les plateaux se remplissent, les musiciens sont confinés… au parking.

Petite, Sophie a peur : du noir, des dessous de fauteuil qui lui attrapent les pieds et des monstres qui vivent dans sa cave. Elle pensait qu’adulte, ces peurs partiraient. Car les adultes n’ont plus peur, n’est-ce pas ?

Avec la comédie musicale signée Marc Lavoine et Fabrice Aboulker Les souliers rouges, Central s’adresse à toutes les familles, juste avant les fêtes de fin d’année. Le binôme qui a sorti Les yeux revolver a mis huit ans pour créer cette pépite.

Plonger dans la chair d’une femme de 73 ans comme on entre dans une forêt. Déambuler dans ses sensations physiques, ses souvenirs corporels, les méandres de sa mémoire. Ressentir la richesse et la complexité de son existence. Rencontrer Annette.

Adapté du roman multiprimé Bel Abîme, ce monologue nous conte avec fougue l’injustice et la violence d’un pays envers ses propres enfants.

C’est l’histoire de Louis, 16 ans. En immersion à l’étranger, il rentre précipitamment à la suite du décès de son père. Sa sœur et son frère l’attendent… "Cela aurait pu être glauque ou indécent, mais le Théâtre de la Guimbarde réussit un étonnant numéro d’équilibriste." (Le Soir)

Lorsque Pitcho Womba Konga a découvert le roman "L'Amour est très surestimé" de l'écrivaine franco-algérienne Brigitte Giraud, de nouvelles portes se sont ouvertes à lui. Il a commencé à se demander quel rôle l'amour peut et doit jouer dans la vie d'un être humain.

Et si un ado de 14 ans acceptait une rencontre citoyenne pour échanger sur sa situation et son avenir ? C’est à cette question que ce spectacle tente de répondre.

Bloocat n’aime pas rentrer dans des cases. Dans des classements de genres. Son adn, c’est la musique urbaine, alternative. Le rap, le reggae, le trip-hop, l’électro...

L’histoire vraie d’un fils qui part à la recherche de son père. Sauf que son père est mort il y a 15 ans et qu’il n’a jamais vécu avec lui. Dans les mains du fils, trois cartes : Congo, Antarctique et Libye. Trois lieux où son père a vécu et travaillé. Carnet en main, le fils prend la route…

Novak court. Il est poursuivi par deux hommes qui veulent lui voler son téléphone. Son précieux téléphone abrite Scarlett, une Intelligence Artificielle qui sait tout de la vie de Novak.

Un jour, je reçois des mains de ma mère un Cahier d’école soigneusement rédigé. Elle y a retranscrit tout ce que son père, Hagop, a traversé. Un petit homme que j’ai connu, grand-père fantomatique, réfugié Arménien fuyant dans les années 20, l’empire Ottoman et les violences du génocide de 1915-16.

Six ans déjà après "L’un de nous", à point nommé pour célébrer vingt années de chansons, Albin reprend le fil de ce qui peu à peu a façonné son style unique.

"Autrice, metteuse en scène et comédienne, elle réussit le prodige de viser juste à tous les niveaux, faisant de ce Post Mortem un des spectacles les plus touchants, les plus drôles et les plus universels du moment." (Jean-Marie Wynants, Le Soir)